C’est sur un groupe Facebook qu’Émilie a entendu parler d’Alloclients pour la première fois.
Plusieurs indépendantes échangeaient leurs galères d’agenda vide, de clients qui peinent à venir, de pubs qui n’amènent rien.
Une d’entre elles a partagé son expérience : « Franchement, depuis que je suis passée par eux, mon agenda se remplit quasiment tout seul. »
Curieuse, Émilie a cliqué.
Un site propre, quelques témoignages, des résultats affichés.
Pas de grandes démonstrations. Pas besoin.
Elle s’est inscrite pour recevoir le guide gratuit. Comme beaucoup d’autres.
Les emails ont commencé à arriver.
Des conseils précis. Pas les généralités qu’elle avait l’habitude de lire. Des idées concrètes, applicables tout de suite.
Des façons d’attirer des clients sans passer ses journées à faire de la prospection, sans passer des heures sur Instagram à poster dans le vide.
Petit à petit, quelque chose changeait. Moins de stress. Des rendez-vous qui commençaient à tomber régulièrement.
Une forme de légèreté qui revenait.
La sensation, enfin, de ne plus naviguer à l’aveugle.
Puis, un jour, un email différent. Une invitation discrète à rejoindre un programme plus avancé.
Quelques places seulement.
Pas de relance agressive.
Mais un léger sous-entendu : toutes ne pourraient pas en profiter.
Émilie a cliqué.
Ce qu’elle a découvert ensuite n’était visible nulle part.
Un accompagnement beaucoup plus poussé. Des campagnes qui tournaient enfin correctement. Un système qui, semaine après semaine, remplissait son agenda sans qu’elle ait à y penser.
Autour d’elle, certaines collègues continuaient à tâtonner. À acheter des formations génériques. À tester des pubs sans comprendre pourquoi ça ne prenait pas.
Les discussions revenaient souvent :
-« Tu as vu passer ce programme, toi ? »
-« Non. Je ne savais même pas qu’il existait. »
-« Il fallait être là au bon moment. »
Aujourd’hui encore, Émilie reçoit ces emails.
Parfois une astuce.
Parfois une nouvelle porte qui s’ouvre.
Mais elle le sait désormais : certaines opportunités ne se présentent qu’une seule fois.
Et à chaque fois qu’elle regarde son agenda se remplir, elle repense à ce premier clic.
Celui qui a tout déclenché.
